Rééducation de Femme Trophée 02

Cumshots

Traduction d’un texte de Krystal0690.

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Nous sommes trois à être assises dans la salle de punition à 9 heures du matin. Nous attendons M. Ambrose en tenant nos cartes. Numéro 8 a une carte bleue comme moi. Numéro 3 a une carte rouge.

La pièce ne ressemble à rien de ce que j’ai pu déjà voir. Elle est bien éclairée. Au centre se trouve un genre de palissade avec deux plaques d’acier avec trois trous dans lesquels la tête d’une personne ainsi que ses deux bras peuvent être emprisonnés. La hauteur semble réglable.

Sur un mur, se trouve un grand cadre en X avec des menottes attachées à des anneaux aux extrémités. Ce cadre est peint en noir et possède des rembourrages. A côté de cette croix, reposent contre le mur, plusieurs barres de bois de différentes longueurs avec des attaches à chaque bout. Un assortiment de fouets et autres instruments de flagellation de différentes tailles est accroché au mur. Puis je vois un ensemble d’objets qui ressemblent à des aiguillons électriques pour le bétail.

Toutes les trois, nous restons assises sur un banc dans cette pièce pendant près d’une heure. Nous ne pouvons nous empêcher de regarder les instruments de torture. Nous nous doutons que nous allons être soumises à la blessure de ces objets, mais nous essayons de comprendre comment.

– Ils ont dit qu’ils ne nous puniraient pas! Déclare Numéro 3.

C’est elle qui a le plus à craindre avec sa carte rouge. Je lui rappelle alors :

– Ils ont dit que nous devrions nous-même déterminer le châtiment approprié.

L’attente est la pire torture. Mon imagination fonctionne à toute vitesse.

M. Ambrose entre dans la salle avec trois colliers en cuir dans sa main. Chacun des colliers a un anneau en fer sur le devant. Deux colliers à bandes bleues sont remis à Numéro 8 et à moi, le collier restant à bandes rouges est donné à Numéro 3.

Nous restons debout et comme ordonné, nous enlevons nos tee-shirts, nos culottes et nous fixons les colliers autour de nos cous. M. Ambrose s’assoit sur la seule chaise présente dans la pièce.

– Savez-vous pour quoi vous êtes ici? Demande-t-il.

Je réponds en premier :

– Parce que j’ai été infidèle à mon mari!

Les autres filles hochent la tête pour signifier leur accord.

– Non, ce n’est pas ça! C’est parce que deux d’entre vous ont refusé de dire la vérité immédiatement et l’autre a reçu un carton rouge, car elle a menti.

Nous regardons le sol. Numéro 3 déclare :

– Je suis désolé.

– Vous avez peut-être honte de votre comportement passé. Toutes les femmes ici ont été infidèles à leur mari qui leur a fourni vêtements, nourriture, habitation et mode de vie que peu de gens peuvent espérer. C’est à vous de vous faire pardonner. Ce choix est le vôtre.

Numéro 3 commence à sangloter. L’homme continue :

– C’est ce que vous faites ici qui compte, non pas vos anciennes fautes.

Il regarde les instruments disposés dans la salle et il dit :

– Vous allez vous-même déterminer comment vous punir de façon appropriée. Trop peu signifiera que nous monterons le niveau de réprimandes. Les cartes bleues, vous pouvez vous-même vous punir. La carte rouge devra vous demander votre aide.

Il explique ensuite comment fonctionnent les divers instruments de torture, mais il ne donne aucune indication sur ce qui est approprié comme punition. Lorsqu’on le questionne il répond :

– Comme dans la vie, c’est à vous de trouver.

Je vois sur le mur un petit taser portatif parmi les autres aiguillons électriques. Il a la taille d’un téléphone portable, trabzon escort rectangulaire, avec deux pointes sur le dessus. Quand j’appuie sur le bouton, un éclair crépite entre les électrodes. En tremblant je l’approche de ma main. Les yeux presque fermés, je pousse le bouton et je sens l’éclair me frapper. Je ressens une sensation de brûlure. Pourtant, en regardant ma main, je ne vois pas de marque. M. Ambrose explique alors que cet engin tenu sur la chair qu’une demi-seconde provoque douleurs et spasmes musculaires, mais tenu plus longtemps il peut provoquer une perte de contrôle musculaire et une désorientation.

Alors que les autres filles me regardent, j’avoue avoir essayé de ne pas dire que j’avais été infidèle. Je place le taser près de mon mamelon droit et j’appuie sur le bouton. La décharge électrique traverse mon téton. Je crie de douleur et de peur. J’ai l’impression qu’une guêpe en colère vient de piquer mon sein. Je manque de tomber, mais je me rattrape. Les deux autres femmes me regardent avec horreur. Il n’y a pas de marque sur mon sein et la sensation de brûlure commence à s’estomper.

M. Ambrose ne dit, mais il griffonne sur son bloc-note. Je déplace le taser vers mon autre sein et je m’envoie une nouvelle décharge électrique. Ça me fait horriblement mal. Je baisse mon bras et je dis :

– Une décharge pour chaque homme avec qui j’ai trompé mon mari.

– Est-ce que vous pensez que cette punition est suffisante? Demande l’homme ;

– J’ai eu très mal, plus que ce que je pensais pouvoir supporter.

– Le plus important est de savoir si vous êtes satisfaites du niveau de douleur infligé par rapport aux fautes que vous avez commises? Si c’est le cas, alors…

Je regarde le visage de l’homme. Il ne laisse rien transparaître. Est-ce assez? Je regarde mes compagnes d’infortune. Elles sont terrifiées, elles savent qu’elles devront supporter au moins autant que moi.

– Non je mérite plus! Dis-je soudainement.

Je déplace le taser sur mon sexe et j’écarte les jambes. Je place les électrodes à quelques millimètres de mon clitoris puis je m’accroupis pour me préparer à la décharge. Je respire profondément et j’appuie sur le bouton. Le choc frappe mon sexe avec une immense vague de douleur. Je récupère assez pour appuyer de nouveau sur le commutateur et je ressens une nouvelle et effroyable douleur dans la partie la plus sensible de mon corps. Les larmes coulent sur mon visage et certaines tombent sur le plancher en bois. J’appuie une dernière fois sur le bouton et je laisse tomber le taser alors que mes genoux plient sous la douleur et que je tombe.

– S’il vous plaît, elle en a assez! Dit Numéro 8 en pleurant.

– C’est à Numéro 5 de décider! Êtes-vous satisfaite de la punition?

– Oui Monsieur Ambrose, j’ai été punie pour mes fautes.

– Bien Numéro 5!

je me relève difficilement du sol.

– Numéro 8, vous êtes la prochaine. Décidez de votre punition!

La femme tremble et continue à pleurer. Je commence à m’inquiéter pour elle . Si elle prend trop de temps elle devra subir une punition supplémentaire.

– Est-ce que Numéro 5 peut appliquer ma punition? J’ai trop peur de ne pouvoir le faire moi-même. Je suis désolé, j’ai trop peur. Dit-elle d’une voix de petite fille.

– Est-ce que vous voulez le faire Numéro 5?

Les genoux encore flageolants, je réponds :

– Oui Monsieur, je peux l’aider!

– Très bien! Allez-y!

Brièvement je dis à Numéro 8 :

– Soyez courageuse, ça fait mal, mais ça ne cause pas de dommages.

C’est tunceli escort tout le confort sincère que je peux lui donner. Elle reste debout et commence à dire :

– J’ai couché avec un homme de ménage pendant un an. J’étais seule et…

– La raison de votre punition n’est pas pertinente. Ici n’est puni que la violation des règles! Déclare M. Ambrose.

– Je suis désolé Monsieur. Je ne vous avais pas dit que je baisais un autre homme et trompais mon mari.

Je la fais se pencher vers le sol avec sa poitrine touchant ses genoux . Je m’inquiète plus de sa réaction suite à ce que je vais faire qu’à sa douleur. Lorsque le taser touche presque son cul, j’appuie sur le bouton. Un arc électrique touche sa chair. Elle hurle de douleur et se met à trembler. J’appuie une deuxième fois puis je déplace le taser sur son autre fesse et je lui applique deux autres décharges.

Numéro 8 pleure doucement. Je passe devant elle et le taser lui lance deux autres décharges dans chacun de ses seins. Les yeux de la femme sont remplis de terreur, mais ils expriment aussi une certaine gratitude.

– Je n’aurais pu le faire moi-même! Dit-elle entre deux sanglots.

– Est-ce que ça suffit Numéro 5?

Je suis surpris qu’il me le demande. Je suppose que puisque j’applique le châtiment, je dois être celle qui décide combien elle doit souffrir. C’est pire que devoir le faire à moi-même. Je déteste à avoir lui imposer plus de tourments, mais si mon choix n’est pas bon, elle risque de devoir souffrir encore plus.

– Non Monsieur Ambrose. Elle a besoin de plus. Ces fautes sont pires que les miennes.

Je déplace le taser entre ses jambes. Ses yeux me regardent avec horreur, mais elle sait qu’il le faut.

– Fermez les yeux, je vais vous envoyer quatre décharges. Il faut en passer par là!

Ses genoux tremblent à chaque appui sur le bouton et elle crie à s’égosiller. Je dois la tenir. La sueur coule de son front et elle respire difficilement alors qu’elle essaie de retrouver ses sens.

– Est-ce que ça suffit Numéro 5?

– Oui Monsieur. La punition suffit!

– Bien! Aidez-la à se relever! Vous devrez également choisir la punition de Numéro 3!

– Peut-elle nous dire ce qu’elle a fait M. Ambrose? Demandé-je.

– Si vous voulez. Numéro 3?

Elle se place au milieu de la pièce. Ses yeux bougent comme si elle cherchait à s’enfuir. Mais c’est inutile, elle peut décider de partir par la porte. Personne ne l’arrêtera. Elle sait qu’elle devra comme Fonda quitter ce complexe. Alors ses chances de retourner à sa vie passée dans le luxe auront disparues pour toujours et un avenir inconnu l’attendra. Elle commence alors à marmonner, mais nous ne comprenons pas.

– Parlez plus fort! Nous devons continuer!

– J’ai menti! J’ai menti! J’ai eu une liaison, mais j’ai toujours affirmé que je n’avais jamais trompé mon mari. Je l’ai nié même après que l’on m’eut dit le nom de l’homme! Crie-t-elle.

– Un mensonge est une infraction très grave ici, Numéro 3. C’est l’une des pires violations des règles. Il appartient à Numéro 5 et Numéro 8 de déterminer votre punition.

Je regarde Numéro 8. Elle tremble encore de douleur. J’aurais voulu demander si le taser serait suffisant, mais je sais qu’on me demanderait si je pensais que ça l’était. Je devine que ça ne serait pas le cas. Je regarde les autres bâtons électriques suspendus au mur. Comme ils sont beaucoup plus gros, je suppose qu’ils causent plus de douleur. Mais je ne pense pas qu’ils suffisent pour ce châtiment.

Mon ventre commence à se uşak escort serrer lorsque j’examine la collection de fouets. Le BDSM est un sujet que je ne connais pas. J’ai toujours cru que c’était inventé, mais la collection impressionnante d’objets me fait douter. Immédiatement je rejette les gros fouets, ils peuvent causer de gros dégâts et causer des cicatrices. Les raquettes et les martinets font moins peurs, mais je me demande s’ils seront suffisants.

Ma main tremble quand je prends un martinet et je le décroche. Plusieurs brins en cuir avec une bouche à leur extrémité sont attachés au manche. J’espère qu’il fera assez mal sans marquer Numéro 3 pour le reste de sa vie.

Je donne à Numéro 8 une raquette en cuir qu’elle prend à contrecœur. Nous prenons Numéro 3 par les bras et nous l’emmenons vers la grande croix où nous l’attachons par les poignets et les chevilles. L’anneau à son collier est attaché à une chaîne qui pend du plafond.

– Ça va aller, nous ne ferons pas plus que ce que nous devons faire. Soyez courageuse! Dis-je en essayant de calmer ma nervosité.

Elle ne me répond pas. Son visage est vide d’expression, elle semble ailleurs.

– Pensez à des choses que vous aimez! Dit Numéro 8.

Nous sommes si peu qualifiées pour donner des conseils à cette pauvre femme.

Les yeux fermés, Numéro 8 donne un premier coup avec sa raquette en cuir sur les fesses de Numéro 3. On entend un bruit de claque et l’objet laisse une légère marque rouge. Elle continue de frapper, mais il est évident que les coups ne causent pas assez de douleur.

Nous sommes surprises quand Numéro 3 dit à voix basse :

– S’il vous plaît, vous devez me frapper plus fort. Je ne veux pas être expulsée de ce centre. Frappez-moi fort, allez-y!

De nouveau, Numéro 8 abat sa raquette sur les fesses de notre victime. Cette fois le claquement est plus prononcé. Les marques rouges sont aussi plus apparentes. Je fouette son dos avec le martinet. Il laisse une série de rayures rouges avec des petits ronds rouges qui indiquent où sont tombés les nœuds en cuir. Numéro 3 commence à crier et pleurer.

La raquette continue à s’abattre sur ses fesses avec des claquements secs. Les cris continuent. J’essaie de tempérer mes coups de martinets, mais il est difficile de déterminer la violence des lanières en cuir. Nous continuons à frapper la pauvre femme et bientôt tout son cul est bien rouge et son dos est constellé de marques du martinet.

Nous nous arrêtons, car Numéro 3 émet un gargouillis pitoyable :

– Je n’en peux plus… Arrêtez…

Numéro 8 se tourne avec moi vers M. Ambrose.

– Monsieur, est-ce suffisant?

– Le pensez-vous?

Je commence à répondre, mais l’homme prend ma main et dit :

– Réfléchissez attentivement Numéro 5!

Et merde, je comprends que nous devons continuer. C’est ça ou la voir assise au soleil pendant des heures à attendre un bus pour aller nulle part. Je serre la main sur le manche du martinet et je me prépare mentalement pour ce que je dois faire.

– Non, non… Monsieur Ambrose, elle n’en peut plus… je vais… Je vais prendre sa place… S’il vous plaît Monsieur, je ne peux plus la battre. Dit Numéro 8.

La salle reste silencieuse pendant plus d’une minute, comme si le temps s’était arrêté.

– Très bien! Penchez-vous pour recevoir deux coups de martinets à travers vos fesses et ça suffira!

Numéro 8 se penche et se prépare pour l’impact. Je lui donne deux coups de martinet qui laissent une petite série de stries rouges ainsi que des ronds rouges sur son cul en forme de cœur. Elle se mord la lèvre inférieure et crie après les deux coups, mais elle résiste à la douleur.

Nous détachons Numéro 3 de la croix et nous sommes prêtes à l’accompagner à sa cellule quand M. Ambrose dit :

– Restez là Numéro 5, je dois vous parler!

A suivre…

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